Grèce

Olympie, plage Voidokilia, Sparte

Carole

9 juin 2018

Olympie Sparte Voidokilia

Olympie – 06.06.2018

Un mois s’est déjà écoulé depuis notre arrivée en Grèce ! Que le temps passe vite ! Nous avons essentiellement profité des plages, l’état de mon pied y contribuant. Il est maintenant temps de s’intéresser aux sites archéologiques…

Nous nous arrêtons à Olympie qui accueillit les jeux olympiques dans l’Antiquité. Le sanctuaire, dédié à Zeus, est assez vaste et suscite l’intérêt. On reconnaît les fondations des bâtiments de plusieurs époques. Par contre, et à notre grand étonnement, peu, voire même aucune des structures, n’a été reconstituée. Le parc est bien entretenu mais la végétation recouvre une partie des pierres et des mosaïques qui ont simplement été protégées à l'aide de bâches. Les éléments de colonne ou de murs semblent posés aléatoirement à même le sol. Habitués de la mise en valeur de nos sites romains, le « laisser-aller » du site d’Olympie surprend : manque de financement ? de soutien politique ? de cohérence archéologique ? … ou peut-être un peu de tout ça à la foi !

Plage Voidokilia – 06-08.06.2018

Samedi nous rejoignons le frère de Mike et sa famille pour quelques jours de vacances. Dans cette attente, nous profitons encore d’une plage de sable intéressante en Messenie, dans une baie en forme de champignon ou de lettre omega Ω pour faire directement référence à la Grèce: Voidokilia Beach.

Sparte – 09.06.2018

L’heure des retrouvailles approche alors que Mike conduit Antares sur les routes étroites du Péloponnèse en direction de la côte Est. Nous en profitons pour faire un crochet à Sparte. Nous avons un peu de difficulté à trouver le site historique. Il n’y a que peu de panneaux de signalisation quant à son emplacement. On nous avait pourtant averti…  Une fois n’est pas coutume, je me permettrai de reprendre deux citations tirées d’internet qui illustrent parfaitement la situation rencontrée à Sparte : 

Vestiges d'une cité devenue mythique, non loin d'être laissés à l'abandon, ces pierres émergées du sol laissent présager d'une grandeur enterrée par le temps et à la profondeur de son histoire. http://www.grece-bleue.net/

De plus, Sparte est la seule cité de Grèce dépourvue de murailles car, d’après Lycurgue, le grand législateur de Sparte, « Une ville bien défendue est celle qui est entourée d’un mur d’hommes, et non d’un mur de briques »https://fr.wikipedia.org/wiki/Sparte

Ere spartiate ? Circuler, il n’y a rien à voir…

 
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